Un match, une passion naît
4 février 2016
Cher football, Pendant longtemps je t’ai évité, je t’ai repoussé, j’ai évité de te sentir, Je pensais que t’accorder un moment signifiait loser, tuer le temps, faire le poireau, J’étais convaincue que tous ceux qui te côtoyaient perdaient leur personnalité du fait de l’intolérance qui régnait là-bas…que dalle Ce jour, je t’ai approché, croisé ton regard, j’avoue qu’il est irrésistible; je ne me vois pas vivre sans ta présence,